GENOCOST : Mbodina Iribi réaffirme son engagement envers les victimes après la tragédie de Komanda

Chaque 2 août, la République Démocratique du Congo commémore le GENOCOST, un terme portmanteau de génocide et coût, illustrant le lourd tribut économique des atrocités commises dans l’Est du pays. Cette journée honore les millions de victimes des conflits armés qui déchirent la région depuis plus de trois décennies. Elle représente également un appel solennel à la justice et à la solidarité nationale.

Dans ce cadre, le député national Mbodina Iribi Pierre-Celestin, à travers son mouvement Les Innovateurs de l’honorable Mbodina Iribi, a livré un message empreint d’émotion et de détermination :
« Devant les souffrances tant endurées, nous sommes venus aujourd’hui joindre nos voix aux souffrances du peuple congolais et dire, Plus Jamais Seuls. »

GENOCOST : une tragédie aux origines économiques

La dénomination GENOCOST met en exergue les motivations économiques à l’origine des massacres : exploitation des richesses minières et déstabilisation stratégique du pays. En tant que représentant du peuple, l’honorable Mbodina Iribi a interpellé les principales institutions nationales Présidence, Assemblée nationale, Primature et Fonarev sur leur devoir de protéger et de réparer les injustices.

L’objectif : garantir que le sacrifice des victimes ne soit pas vain et que la justice triomphe.

Le symbole de la colombe porté par son message incarne à la fois l’unité et l’espoir. Il reflète l’aspiration à une reconstruction commune, où les Congolais s’unissent pour honorer les disparus et bâtir un avenir apaisé.

Komanda : une tragédie qui exige une réaction

La récente tragédie survenue à Komanda a intensifié l’engagement du député. Dans la nuit du 27 au 28 juillet 2025, une attaque attribuée aux ADF a coûté la vie à 42 civils. Cet acte abominable a été vigoureusement condamné par Mbodina Iribi, qui a souligné la nécessité d’une réponse immédiate.

Selon lui, cet événement doit rappeler au gouvernement l’urgence d’éradiquer les milices armées et de renforcer la sécurité des populations.
La commémoration du GENOCOST devient ainsi un cri du cœur : pour la reconnaissance, pour la justice, et pour que plus jamais les victimes ne soient laissées seules face à l’horreur.

Rédaction

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