RDC: campagne de dénigrement des conseillers communaux, un acte de chantage fermement condamné

Le Ministère des Finances a confirmé le paiement des primes des conseillers communaux, malgré une campagne de diffamation orchestrée par certains d’entre eux, a souligné le ministre sur son compte X. Cette situation, contraire aux valeurs républicaines, suscite l’indignation et appelle à des mesures fermes.

Dans un contexte où la transparence et l’intégrité doivent primer, le Ministère des Finances a récemment pris des mesures pour garantir le versement des primes dues aux conseillers communaux. Après avoir résolu les derniers préalables administratifs, le ministre, Likunde, a assuré que les conseillers recevront leur compensation, une nouvelle accueillie avec soulagement par les parties concernées.

Cependant, alors que les fonds étaient sur le point d’être libérés, une frange de conseillers communaux a choisi d’adopter une stratégie inacceptable : une campagne de dénigrement visant à exercer une pression sur le ministre. Ces actions, qui s’apparentent à du chantage, sont non seulement immorales, mais elles nuisent également à l’image de la fonction publique et à la confiance des citoyens envers leurs représentants.

Le ministre Likunde a fermement dénoncé ces méthodes, rappelant que le respect des valeurs républicaines est primordial. Dans une déclaration, il a affirmé : « Nous ne pouvons tolérer de telles pratiques, qui sapent les fondements mêmes de notre démocratie. Le dialogue et la négociation doivent être les seuls moyens de résolution des conflits. »

Cette situation soulève des questions cruciales sur l’éthique et la responsabilité des élus locaux. Les citoyens attendent de leurs représentants qu’ils agissent dans l’intérêt général et qu’ils respectent les principes qui régissent notre République. La récente campagne de dénigrement ne fait qu’éclairer le besoin urgent de réformes dans la gouvernance locale.

Le Ministère des Finances, dirigé par Doudou Fwamba, reste déterminé à agir avec transparence et équité. Les conseillers qui ont choisi la voie du chantage doivent être tenus responsables de leurs actes, et des mesures doivent être mises en place pour éviter que de telles dérives ne se reproduisent à l’avenir. La dignité de la fonction publique et la confiance des citoyens sont en jeu.

Rene Kasongo

Loading

0 commentaire

Laisser un commentaire

Emplacement de l’avatar

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *