La journaliste Egedo Nkusu Tambwe a été brièvement interpeller le mardi 30 juillet puis détenue brièvement au cachot de la police d’investigation criminelle en ville de Bunia.
Selon un officier de la police judiciaire, la journaliste Egeudo Nkusu Tambwe était arrêtée à la place de son petit frère qui selon cet OPJ avait signé une décharge de payer la moto de son chef à la fin du mois d’août prochain.
Tellement que le petit frère de la journaliste séjourne à Mungwalu, où il effectue son travail, l’OPJ a jugé bon d’arrêter Madame Egedo Nkusu parce-qu’elle avait signé sur l’acte comme témoin.
«Comme le petit frère travail Pour ce moment à Mongbwalu, ils ont préférés m’arrêter à sa place, j’avais essayé de demandé à l’OPJ de bien préciser donc mon infraction, mais rien de spécial et il m’a demandé de payer une caution de 30$», a expliquée Madame Egedo Nkusu Tambwe.
Et d’ajouter ; «hier donc lundi ils m’ont détenu jusqu’à 21h, et aujourd’hui toute la journée».
La même source indique que c’est grâce à l’intervention d’un Major que cette dame n’avait pas passer nuit au cachot après avoir mis la main au petit frère de Egedo Nkusu.
Malgré tout ce préjudice subi, les OPJ de la PIC continueraient de la demandé une somme de 30$, pour clore le dossier.
Réagissant à celà, le Réseau des Journalistes Engagés pour la Paix à l’Est de la RDC «REJEP» qualifie cette arrestation d’arbitraire bien que celà ne concernait pas le travail du journaliste.
Son coordonnateur appelle les animateurs de la justice de bien faire leur travail en toute professionalisme pour changer la done afin de permettre à ce secteur très important dans la vie d’une nation d’être réellement au service de la population sans ingérence.
Rédaction
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